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Zoé Mugica-Ballanger

© Julie Carretier Cohen1 - Copie.jpg

Voltigeuse, de toutes les disciplines de cirque c’était la seule que j’avais choisi de ne pas faire : j’ai donc appris d’expérience qu’il ne faut effectivement « jamais dire jamais » !

C’est la rencontre avec mon porteur Augustin Mugica ainsi que le spectacle La Machine de la compagnie Du Fardeau qui m’ont finalement amenée à choisir cette spécialité. Ce spectacle a eu sur moi un effet de fascination ; le jeu, les portés, la facilité qui s’en dégageaient me sont apparus comme un plaisir franc et honnête qui ne donne envie que d’une chose : y goûter également ! De tous les spectacles qui m’ont nourris et motivée à me lancer dans cette voie, il en est un, Andiamo, de La Famille Morallès, qui a doublement marqué mon parcours. En découvrant ce spectacle j’ai su immédiatement que je partagerai et défendrai dans mes choix de projets artistiques cette esthétique à la fois populaire, familiale et hautement exigeante sur le plan artistique.

Modernité et héritages s’y côtoient et j’aime la richesse que cela permet. Hasard ou destin ? J’ignorais, le jour où j’ai découvert ce spectacle, que je venais de voir sur scène Augustin, mon futur partenaire de travail, que mon chemin (re)croisa quelques années plus tard.

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